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Puisque les fils de cordonniers
Ne sont plus les plus mal logés
Ce "pauvre" Gaymard doit donc payer
Et gare aux nez trop allongés
Ce poulain de la chiraquie
Qui a lui aussi ses Bity
Pour se loger a préféré
Un grand duplex à nos grands frais
Une fois la main dans le sac pris
Ce pauvre Hervé trop sûr de lui
N’a pas su faire entendre son cri
Il est parti c’est bien ainsi
Auparavant les chiraquiens
Toujours de nous se moquaient bien
Nous abreuvant de leur mépris
Plutôt que de payer le prix
Dans ce départ précipité
La démocratie chahutée
Mais par dessus tout nos deniers
N’auront vraiment qu’à y gagner
Quand on ne sait communiquer
Que les mensonges alambiqués
Se rajoutent à tous les non-dits
On perd alors tout son crédit
Et lorsqu’on est grand argentier
Prônant chaque jour l’austérité
Il faut mener un train de vie
Qui ne nous donne pas des envies
Ce triste Gaymard l’a donc appris
Et je l’espère tous ses amis
Son avenir est derrière lui
Le notre en sera t’il moins gris
Calas le 26/02/05
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