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JEAN BAPTISTE MON PÉPÉ
Mais que c’est une grande chance
De grandir doucement
Près d’un grand père aimant,
Quand on est dans l’enfance !
Et plus mes jours avancent,
Plus son visage calmant
Illumine, tendrement,
Mes peines et mes souffrances.
Sans jamais de violence,
Il goûtait le bon temps
De voir grandir mes ans
Et me faisait confiance.
Je sens qu’il me devance
Et m’appelle, sagement,
A vivre passionnément,
Avec sa nonchalance,
Pour dépasser l’offense
De ses tourments d’antan
Dont, seul, inconsciemment,
Je souhaite délivrance.
30/06/05 et 15/02/11
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